La Rivista per l'insegnamento e l'apprendimento delle lingue

Et si nous reprenions encore les prémisses pour enseigner les langues…

Carole-Anne Deschoux
Lausanne

In diesem Beitrag geht es um Erfahrungen mit dem Unterricht des Französischen als Zweitsprache in der Westschweiz, die in einem ersten Teil anhand konkreter Projekte vorgestellt werden. Daran schliesst sich die Frage nach der Konzeption einer integrativen Sprachendidaktik im Rahmen der Ausbildung von Lehrerinnen und Lehrern. Dies ist Gegenstand eines Kooperationsprojekts zwischen Schul- und Fremdsprachendidaktik an der Pädagogischen Hochschule in Lausanne, das im letzten Teil des Beitrags skizziert wird.

La prise en compte des langues à l’école et leurs enseignements ont toujours été alimentés par des débats passionnés et le resteront. Actuellement, les dénominations foisonnantes (langue de scolarisation, langue 1 ou L2, L3, langue cible, langues étrangères, langues d’origine, etc) attestent la vitalité des enjeux, la créativité des champs discursifs et illustrent également le foisonnement des épistémologies entrées en concurrence dans le nouveau plan d’études romand (PER).
Indépendamment de la difficulté et, en même temps, de la nécessité de s’entendre sur des définitions unifiées, nous constatons au quotidien combien la politique des langues s’est saisie de ce champ d’enseignement et de recherches. Un engouement qui a déjà des effets sur les curricula de formation initiale mais aussi dans les catalogues de formation continue et sur la mise en synergie des institutions impliquées dans la formation des enseignant-e-s.
Ces conséquences concrètes invitent à prolonger la discussion. Soit. Mais alors, si «notre héritage n’est précédé d’aucun testament», par quel bout appréhender la réflexion? […]

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